Nelson
Jackson
Hansen est né le jour de l'an 1909 dans le quartier populaire de Wells Street à Chicago dans l'état de l'Illinois des Etat-Unis d'Amérique. Fils de parents venant de Détroit dans le Michigan. Nelson vécu toute son enfance dans ce bar situé dans un angle. Il était luxueux..
Il avait toujours ses habitués au comptoir de bois massif volumineux, brillant. Il y avait aussi un lustre, un lustre en bronze qui donnait une lumière brillante au teint jaune, qui reflétait sur ce bois. Les sièges étaient vert et rouge, comme le blason de l'établissement. Parfois, certains groupes venaient chanter sur cette estrade en bois sur élevé d'un mètre environ, il s’appelait le Temple. Il ne faisait jamais à manger, sauf pendant cette période d'été où mon père se tracassait à faire ses croque-monsieur fait de jambon, salade, beurre et gruyère rappé, tout ça doré dans un four à bois. Il engageait toujours un jeune pour son stand à glace. Mon père, il s'embêtait à essayer de vendre ses glaces alors qu'en face stationnait un camion à glace, vert et rose où tout les enfants du quartiers qui sortaient de leur école à trois pas d'ici venaient acheter. Peut être car les prix de mon père étaient trop élevé, ou peut être un défaut de qualité. J'ai pu faire ce job pratiquement huit ans, huit ans sans sortie à travaillé sans cesse sans être rémunéré. Mon père me disait : "Tu es de la famille, je paye ton loyer, c'est normal que tu fasses cela pour moi". Je n'avais rien à dire, car il avait raison, mais ma mère, blonde au yeux bleu qui était serveuse avait une devise qui disait : "Tout bon travail mesure salaire" alors, j'étais payé quelques cents par glace vendu. Malheureusement, je ne gagnais jamais 20 dollars dans un été, pourtant il y avait un parc à côté, une école, un gymnase, un stade.. Mais non, rien à faire.
En 1917, notre pays rentre en guerre, le président actuel Thomas Wilson appelle 2 millions d'homme pour partir à la guerre, dont mon père qui était âgé d'une trentaine d'années. Les mois passèrent et aucune nouvelle, mon père était parti sur le front Lorrain, où il laissa son pied gauche après avoir subit une balle. Il revient au pays après l'armistice du 11 novembre 1918. On avait pas eu de mal à gérer le bar en son absence, je préparais les boissons, ma mère servait. Puis, les habitués nous aidaient.
Septembre 1933, je rentrais enfin dans l'université de Michigan où j’apprenais le design d'automobile. Mais le bar perdait du monde, l'alcool a cette époque là, était interdite. Je devenais alors contrebandier après avoir stoppé mes études par manque de moyen, fiché par la police, je me devais de partir le plus vite de cette ville, de ce pays. Je dis adieu à mes parents, et je partais avec mon ami James Stewart que j'avais rencontré à l'université à Londres. Une fois là bas, mon ami décède d'un cancer foudroyant du foie, et moi.. pour oublié, j'étais partie à l'aventure et avait découvert Arlington où un vielle homme m'avait fait des nouveaux papiers. Après avoir déposé mon C.V, je devenais Capitaine de la Milice en 1937. Aujourd'hui, Octobre 44, je suis encore ici où je me suis forgé une véritable popularité après mes plusieurs récits dans la résistance ou les grandes enquêtes que j'ai su résoudre.
*Signe rapidement un J qui se transforme en une boucle, partant de gauche à droite et descendant.*