Excellent.

- Vous dosez un peu trop sur l'ironie mon cher. Comparer un homme à une poubelle est totalement une provocation. M'enfin ça m'étonne pas trop, au vu de votre comportement ces derniers jours. Parlons en un peu de votre propagande envers le BNP ainsi que la fin de cela. Vous mettez que le BNP sont racistes, sexistes, homophobes et violents ? Nous allons parler un peu de la violence, vous voulez bien ?
Votre président, monsieur Markarth, utilise des insultes totalement ouvertes envers monsieur Corleone. Vous trouvez ça totalement juste ou bien employer sous un autre terme : justifié ?
Je ne vois pas en quoi le BNP et monsieur Corleone, qui est la cible principale par vos attaques totalement ridicules et je précise sur ce mot : ridicule, est raciste et tous vos termes employés. Vous essayez de vous ridiculiser de plus en plus et c'est très dommage. Passons à un point suivant, vous voulez bien messieurs ? Vous avez très bien dit, et bien plus fort que vos petites pensées que celui-ci vous avez recopié votre programme. Pourquoi pas l'inverse, plutôt ? Si vous attaquez sur cet argument, alors que monsieur Corleone ne vous a rien demandé, c'est peut-être vous. Vous ne le pensez pas ? Soyez logique un peu messieurs avant d'attaquer avec peu d'argument mais assez remplit d'insulte.
Comme je vous l'ai dit très précédemment, attaquez lorsque vous avez de véritables arguments et qui sont assez solides.
Sur ce, je vous laisse et je vous souhaite une très bonne journée encore une fois.

- Mon chère monsieur, je vais vous apprendre à voir.. En aucun cas, je le compare à une poubelle. Si vous vous nettoyez un minimum, vous auriez vu que c'est les nazis et les fascistes qui sont mis DANS la poubelle. Vous me parlez de Markarth, mais en aucun cas je suis avec lui, je suis pour personne. Vous aboyez à tout bout de champs pour au final vous ridiculisez de nouveau. C'est pathétique. Vous voulez juste le pouvoir comme monsieur Corleone, en le suivant tel un chien assoiffé. Aller dormir une nuit, vous en avez besoin.
Et je rajouterai que vous provoquez aussi, à répondre à tout. Vous nous dites bêtes, alors que vous continuez à nous répondre. Vous êtes alors tout aussi bête.

Bonne journée à vous aussi, monsieur ! * dit-il alors en ricanant *

Mais généralement, le plus bête, c'est celui qui provoque en premier. Et là, c'est vous.

- Vous voulez jouer à ce jeu ? Allons y, j'ai tout mon temps à accorder à un pauvre immature de votre genre. Vous dites haut et fort que vous n'êtes pour personne. Pourquoi vous n'attaquez que seulement le BNP, alors ? Répondez franchement, au lieu de provoquer ainsi alors pour l'instant vous n'êtes qu'un insolent et encore mieux : misérable insolent. Je n'ai aucunement besoin de l'aide d'un homme dans votre genre, et encore moins de vos explications. Vous provoquez, je riposte.
Ah et, en plus ! Je n'ai aucunement envie d'avoir le pouvoir en compagnie de monsieur Corleone. Vous devriez déjà apprendre à voir avant d'apprendre aux autres. Si je riposte, c'est que je m'exprime. Nous sommes dans une démocratie monsieur.

Si je suis si misérable, n'aboyez plus et ne me répondez plus. Pauvre imbécile. Et dire que dieu vous a fait, erreur de la nature surement.. *dit-il en faisant un signe de croix *

- Vous employez beaucoup trop le langage familier mon cher, c'est dommage et même beaucoup trop dommage. Je suis en droit de vous répondre, toutes comme autres personnes d'Arlington. Pourquoi amenez-vous Dieu dans cette affaire ? Je peux réellement le savoir ? S'il m'a fait, c'est que je le méritais. C'est peut-être vous l'erreur de la nature, non ?

- Vous êtes en droit de répondre, certes, mais si c'est pour dire de telle anneries aussi grande que votre connerie, vous feriez mieux de vous taire. Vous êtes là pour cracher sur vos opposants car vous n'acceptez pas d'avoir des adversaires. Oui je ramène dieu, et je le pardonne d'avoir fais un abruti de la sorte, c'est une erreur, il vous a loupé, ce n'est pas de sa faute comme ce n'est pas de votre faute d'être aussi bête. Je vous pardonne.

Plus les élections approchent, plus les esprit s'échauffent