Avant de parler de moi Mike, j'aimerais parler de mes parents, Lindsay Willer et Paul Willer.
Ils sont morts quand j'avais 16 ans, et nous on laisser moi et ma sœur...
Ils nous avez dit qu'ils partaient faire des courses.. qu'ils revenaient dans une heure.
Bien sûr ceci été totalement faux sachant que je les ai vue sortir en uniforme militaire...
Une heure plus tard, après avoir mis ma sœur devant sa poupée bien calmement, je me suis inquiéter.
PAN ! C’était quoi sa? PAN !!
Je me mis alors a courir à travers la maison pour arriver au jardin et j'ouvris la porte.
Malheureusement je n’oublierais jamais se moment, je vis mon père et ma mère sur le sol agonisant.
Alors je me mis a crier à L'AIDE ! à L'AIDE mais cette rue, les pivoines, est toujours déserte.
Finalement des secours sont arriver.
Un jour plus tard ils venaient m'annoncer le décès de mes chers parents.
Moi et ma sœur fumes recueilli par ma tante, ma pauvre vieille tante...
Mes rêves me hantaient de la mort de mes parents.
Quand à moi je suis née une nuit pluvieuse de décembre. Le 31 décembre 1923 dans un hôpital à Blois plus précisément.
Ma tante ma tout donner pour que je continues mes études, 2 ans plus tard, j'ai eu ma licence de droit.
Mais un événement tragique est venu m'embêtait à nouveau dans ma vie, la mort de ma tante.
Ma sœur est venu en sanglots devant mon café ou je me réfugiait souvent et dis :
" MIKE MIKE, TA... TA est est.. "
J'avais tout de suite compris... Pendant des jours, je me disais que j'étais maudit, que la vie me punissait.
Quelque jours plus tard, en attendant de trouver une solution, je me suis installer dans une chambre d’hôtel dans une petite ville nommé Vendôme.
Toujours avec ma sœur, on répéter souvent cette phrase :
" Ah la vie, Ah la mort "
Quelques jours plus tard
Un jeudi, un employer d'hôtel ma interpeler et donner une lettre...
Ah l’intérieur de celle ci se trouver une lettre de ma tante qui m’expliquer pourquoi celle ci nous avait cacher son cancer, et au fond de la lettre se trouver des messages de mes parents, des photos d'eux, leurs souvenirs.
Je serra les points et je pris ma sœur et je couru, je sais pas où j'allais, pourquoi je faisais sa, mais je savais que j'allais m'en sortir.
Au bout du tunnel je rencontras un village qui se nommé Arlington, se qui ma émue, c'est l'humanité de cette population, ils mon accueilli moi et ma sœur sans doute ni préjuger, ils mon fait découvrir cette ville, ses endroits, ses parfums, ses spécialités.
Maintenant, je sais, je sais que je veux VIVRE à Arlington.