Autobiographie de John Orweel, homme de foi.
John Orweel est originaire d'Edinburgh, fière capitale de l'Ecosse, où il est élevé rudement par sa mère. Fils unique et orphelin paternel d'une famille paysanne, il aide sa mère dans ses tâches quotidiennes et effectue les durs travaux d'entretien domestique à la place de son père. A l'âge de 17 ans, sa mère tombe gravement malade. Elle meurt quelques mois plus tard, laissant son fils unique seul face au monde. John décide alors de rejoindre la ville de Glasgow pour démarrer une nouvelle vie. Il espère intégrer une grande école dans l'espoir de se cultiver et de devenir une grande personne. Très vite, John est détourné de cette possibilité en vue de sa provenance sociale. "Les grandes écoles sont réservés aux bourgeois sir Wyclif. Les paysans ne font pas de bons savants" annoncent un par un les directeurs. Vivant alors à l'aide de petits emplois et de la générosité des passants, il rencontre un jour un prêtre qui acceptera de lui enseigner la religion, l'art de l'altruisme, de la sagesse et de la bonté ainsi qu'à lire et à écrire. John décide alors de se lancer sur une nouvelle voie : La religion. Très vite, l'envie de devenir prêtre envahie l'esprit de John. Il effectuera alors un séminaire d'une dizaine de mois prés du Vatican, à Rome pour parvenir à son nouvel objectif, devenir prêtre. Après une vingtaine d'années passées en temps que prêtre à la cathédrale de Glasgow, william ressent en lui une soif ardente d'aventure. Il décide donc de quitter les grandes villes, pour arpenter en solitaire les routes d'Ecosse et d'Angleterre avec comme objectif d'aider au nom de dieu, les fidèles miséricordieux. Son long périple en tant qu'envoyé de dieux durera bien quinze ans ! Sur son dernier trajet, John Orweel à bout de force, se réfugie dans un village perdu de l'extrême Nord de l'Angleterre, le village d'Arlington. Il fera alors son possible pour intégrer le clergé de ce petit village et couler des jours paisibles dans la vie Ecclésiastique.