* Un article de la part de Mister Baptiste de Terresang parut dans la gazette *

- Aujourd'hui, aura lieu l'enterrement du Dr. Jenner, mais personne ne sait qui l'a tué.. Personne n'a voulu dire la vérité. Moi, Comte Baptiste De Terresang je vais vous dire la vérité de sa mort car j'en ai été témoin.

Je me suis alors disputé avec celle-ci un soir au Square.. Mister Lewis l'a donc pris et l'a emmené jusqu'au Lande. Moi et Mister Petrenkov l'ayons suivi rapidement. En arrivant au Lande, Mister Lewis avait mis le Dr. Jenner devant-sois en protection, notre " chèr " adjoint au maire a donc dégainé son arme et a tiré en plein dans le crâne du docteur. Il a pris pour excuse, qu'il voulait tirait sur Mister Lewis alors qu'il a bien vu que son épouse était devant celui-ci et qu'il avait aucune chance de réussir à toucher Mister Lewis.

Pour ce qui est du bébé du docteur, son ventre a été ouvert alors qu'elle était morte et je l'ai emmené à son cabinet sous assistance respiratoire pour essayé de le sauvé, en vain..

Mister Petrenkov a donc tué son épouse, Mister Lewis et moi-même sommes complices de ce meurtre..

Cordialement, Terresang. * Signature de celui-ci *

*Lisant alors la Gazette, crachant donc son café sur le journal*

- Mon dieu.. qu'est-ce donc ça?
Ce Terresang a vraiment perdu la tête, je vais m'occuper de ça tout de suite..


**L'Article parût donc dans la Gazette aux yeux de tous**

- Citoyens d'Arlington,
- Amis du Clergé,
- Miliciens,
- Warner,

Aujourd'hui j'ai reçu diverses accusations de la part de "menteur", qui tentent de bafouer une nouvelle fois le nom de Petrenkov.
On dit, que j'ai "assassiné" ma propre femme, La défunte, Aurélie Jenner Petrenkov, je l'aurais assassiné, elle et mon enfant, j'aurais assassiné mon propre sang, bien je vais démentir cette accusation.
En effet, j'étais là, cette nuit fraîche à Arlington, je semblait sortir de chez moi vers les coups de 21h pour prendre l'air, quand j'ai aperçu ma femme, Aurélie Jenner Petrenkov, qui se disputait alors avec le "COMTE" Baptiste de Terresang Valois (un Comte fils de Bourreau, il faudra m'en parler).
J'ai tenté d'intervenir en tirant un coup de feu en l'air, puisque ils ne souhaitaient pas écouter, mes diverses tentatives de les calmer, cependant, Terresang, vint alors à dégainer une dague, je m'en rappelle encore, ce bruit assourdissant de la lame contre l'acier de sa bague.
C'est alors, que ma femme vint devant moi, tentant de se réfugier vers moi, je disais donc à Terresang en tout bien tout honneur de se calmer, celui-ci n'en faisant qu'à sa tête tentait d'approcher, alors, vint Adam Mortimer Lewis, il saisit alors la main de Terresang, celui-ci manquant de peu de poignarder Lewis, il pu alors le désarmer facilement, par la suite, Terresang entrait donc dans une colère incroyable en tentant de s'approcher de moi, je lui ai demandé une première fois de reculer, celui-ci ne voulant pas, je me mis alors à le pointer de mon arme, pour ultime défense, c'est alors, que ma défunte Femme, Paix à son âme, vint à s'interposer devant nous, elle me dit ces mots.. "Ne fais pas ça, ce serait que lui donner de l'importance, et tu ruinerais ta vie ainsi que celle de notre fils pour lui.", au même moment où j'ai laissé mon arme retomber sur ma cuisse, Terresang, fourbe qu'il est en a profité pour emmener ma femme vers Northwood, j'ai demandé alors à Lewis de me pousser (oui j'étais en chaise roulante), vers là-bas, c'est alors qu'en arrivant devant Northwood, nous avions perdu leur traces, c'est enfin, que Lewis m'affirme avoir entendu un cri venant des Landes, nous nous y sommes dirigés alors prestement aussitôt afin de tenter de sauver ma femme.
Là-bas nous vîmes Terresang tenant ma femme par la nuque, la passant donc devant lui, j'en suis donc venu à le pointer de mon arme aussitôt alors, et c'est là où il commençait à rabâcher des mots tels que "HACHE PAS CONTENT" ou même "TERRESANG EN MOI", enfin des choses assez bizarre et inhabituelles.
J'en vint enfin à la conclusion, de son père, Alexandre de TerreSang, ancien bourreau du village atteint d'une maladie encore aujourd'hui inconnue, qui aurait déteint sur son fils par la voie héréditaire.
C'est alors qu'en tentant de pointer le haut de son crâne (qui dépassait au desus de celui de ma femme), je tire alors avec mon arme, (ayant une chance sur je ne sais combien), malheureusement, j'ai raté mon coup, je n'aimerais pas m'attarder sur cette partie de l'histoire, car en effet, après ça est arrivé quelque chose d'horrible, j'ai donc demandé à Adam de faire une césarienne pendant qu'il était encore temps et de tenter de sortir l'enfant, il s'empressait alors sur le ventre de ma femme, avec la dague de Terresang récupérée plus tôt pour enfin ouvrir son ventre, j'affirme que cette action était sous mon ordre, et mon unique responsabilité, pendant ce temps, Terresang était alors tombé à genoux, nous demandant le pardon, il nous a affirmé "une maladie mentale", il dit avoir eu une crise de Schizophrénie ayant eu un choc dans sa jeunesse en relation avec son père.
Enfin bref, après ça, dans un élan de pitié (que je n'aurais pas dû avoir), j'ai donc laissé Terresang partir avant de changer d'avis.
Il s'élance alors aussitot en direction d'Arlington tel un chien, la queue entre les jambes, c'est enfin qu'après la fin de la césarienne, Adam, emmenait aussitot mon nourisson en direction de l'ancien cabinet de ma femme afin de le mettre sous assistance respiratoire.

J'avoue mon crime, celui d'avoir laissé Terresang partir.
J'avoue mon crime, d'avoir ordonné une césarienne sur le cadavre de ma femme.
J'avoue mon crime, d'avoir tiré alors que je devais pourtant être sûr.

Que pensez-vous de cette lettre de la part de Terresang, pensez-vous que c'est sans arrière-pensée, il est malin vous dis-je, il prévoit de me faire tomber, tout ce que j'ai fait pour Arlington, j'ai été nommé Chevalier, pour mon travail, je reste des nuits entières dans mon bureau afin de trouver des idées afin de subvenir au mieux à vos besoins.

Arlingtoniens,
Arlingtoniennes,
Amis du Clergé,
Miliciens,
Warner,

Gardez les yeux ouverts, et ne vous laissez pas embourber par cet homme qui a tenté auparavant un Coup d'Etat, et qui aujourd'hui nie les faits, comme il le fait avec ces "faux avoeux".

Ce Terresang est décidément aussi fou que son père. Merci à Joseph D. Petrenkov d'avoir rétabli la vérité de cette histoire morbide.